Beauvais Flavie

I. IDENTITE

Prénom(s) & Nom : Flavie Beauvais

Date de naissance (nous sommes en 1827) :1800

Sexe : féminin

Âge : 27 ans

Lieu de Naissance : Kingsbury, dans un château environnant .

Lieu d'Habitation : Kingsbury. Elle vivait avec sa mère dans leur château, mais finit par déménager seule pour aller en ville, dans une habitation relativement petite qui est devenue un vrai foutoir, et ne témoigne pas du tout des origines bourgeoises de la jeune femme.

Ses pouvoirs ( facultatif - si votre personnage est un sorcier): J'aurais bien aimer qu'elle est la capacité spéciale de pouvoir trancher les balles de pistolet avec ses sabres. Ce serait pas vraiment un pouvoir, mais plus une parade qu'elle aurait développée au fil de ses entrainements...


II. PHYSIQUE

Flavie est une femme reconnaissable entre toutes. Même sans son statut haut gradé dans l'armée, tous le monde à Kingsbury la reconnaît. La permière chose à dire, c'est que c'est une femme d'une grande beauté. Peu importe la façon dont elle s'habille et dont elle se coiffe, et surtout, peu importe si elle le fait ou pas ; sa beauté sauvage et féline ne fait que ressortir de plus belle. Souvent au naturel, elle aime pourtant se mettre du noir autour des yeux, renfroçant son côté beauté bestial. Lorsqu'on la voit, on se retrourne sur son passage, voilà une femme qui a de la classe !
Son regard foncé est toujours très profond. Il peut sonder l'âme de n'importe qui, et souvent, on a peur de tomber dedans. Heureusement, ses yeux sont pétillants de bonne humeur, et de volonté. Un sourire rarement décroché de ses lèvres, elle est quelqu'un de bon vivant. Elle porte de longs cheveux blonds nacrés bouclés, quoi que bien moins que dans son jeune âge. Elle se débrouille pour les maintenir dans une coiffure complexe, partageant en deux sa chevelure et l'attachant à l'aide de fin ruban, histoire que sa ne lui tombe pas devant les yeux.
Sa grande taille et sa musclulature parfaitement équilibré ne peuvent que rendre admirative ou jalouse. Grâce à ses deux atoûts, elle s'est toujours permis de rivaliser avec les hommes ; l'art de la guerre l'a tailler comme dans la roche : ses pas sont amples et se posent sur le sol avec fermeté. Relativement agitée, elle semble toujours en mouvement laissant dévoiller les capacités de vitesse dont elle sait aussi faire preuve.
La miss s'habille habituellement d'un fin pantalon noir, refusant catégoriquement d'avoir à remettre des jupes , avec un haut de veste à rabattre sur le côté gauche moulant ses formes avantageuses d'un tissu élastique. Elle a besoin de se sentir bien dans ses nippes, plus question de mettre des robes boudinantes et ettouffantes. En terme de chaussure, elle a banni les talons de sa garde robe – à l'intérieur de laquelle il n'y a absolument aucune robe-.
Accrochée fièrement à ses hanches, elle porte une grosse ceinture noir brillante. Et attachée à celle ci, à gauche, elle détient des ustensiles peu commun pour une femme ; ce n'est pas une lame qui pend dans son fourreau, mais trois. Cependant, je tiens à noter que l'on a jamais vue comment elle utlisait les trois à la fois, si bien que son aspect d'exentrique n'en est que plus accentué.
Si certains tire la tête devant ces épée acérées, ils se cachent les yeux devant l'arme à feu pendante à droite, le 'foureau' accroché lui aussi à la ceinture. Il s'agit d'un pistolet unique en son genre, d'une couleur étrangement noir, il est d'une grande longueur et elle confectionne elle-même les balles...
Je vous fait grâce de l'énumération des multiples autres accessoires cachés un peu partout sur elle, et dont les existences sont bien cachés.
Depuis quelques années, elle a rajouté à sa panoplie un bandeau de tissu bleu sur sa tête, descendant sur son visage et venant dissimuler son oeil gauche. Son côté mystérieux en est renforcé, mais cependant, s'agit t-il d'un simple artifice de beauté ?...



III. CARACTERE

Ayant vécu depuis sa naissance dans le monde bourgeois, Flavie ne pouvait que s'en inspirer. C'est sûrement de là que viens sa 'classe', qu'elle ne perd à aucun moment. Depuis toute petite, le faite d'être fille unique lui permis de savoir s'affirmer. D'ailleurs, elle mène depuis toujours sa mère à la baguette. Celle ci repproche cependant à Flavie son manque de tenue ; elle n'aime pas la voir en pantalon, et ce bandeau est des plus provocateur ! Mais ce genre de remarque passe largement au dessus de la ravissante femme. D'ailleurs, celle ci en quittant le foyer famillial, a fait le serment à sa mère de ne plus jamais porter une robe, sauf quand les circonstances l'obligent.
Le faite d'être une femme d'arme et d'avoir cotoyer beaucoup plus d'homme que de femme l'a énormément endurcie. Elle parle fort, et sait se qu'elle dit. Elle n'aime pas que l'on l'ignore, et toute marque de manque de respect. Lorsqu'elle décida de rentrer dans l'armée royale, on se moqua beaucoup d'elle, mais lorsqu'elle a une idée en tête, impossible de la lui enlever, et elle n'hésita pas à provoquer nombres d'hommes en duel.
Ce verbe 'hésiter' est banni de chez elle. 'Celui qui hésite est perdu'. C'est une grande conviction chez elle. Il faut y aller. Pas bêtement bien entendu, mais il faut savoir tenir ses engagements et savoir faire preuve d'un peu de courage. Cette façon de voir lui vaut d'ailleurs la douce rumeur qu'elle n'a peur de rien.
Or c'est faux. L'expression 'ne reculer devant rien' serait plus apte, mais elle garde cela pour elle.
En faite, malgrès les apparence, la voix forte et son rire puissant, Flavie est quelqu'un qui ne s'extériorise pas. Taquiner les autres, leur ouvrir les yeux, ou encore se faire respecter par ses ennemis, ça, elle sait. Mais parler d'elle, dire se qu'elle ressent, et même ressentir quelque chose de profond, sont des chose auquelles elle ne parvient pas. Elle a préféré vouer sa vie à son royaume, plutôt que pour elle, et en oublit qu'elle existe aussi pour elle. Elle se retrouve bien seule, le soir, revenant dans son appartemant, car vous l'avez compris, incapable de s'aimer elle même, comment pourrait-elle aimer quelqu'un d'autre ? Bien sur, elle aime les gens, elle aime le peuple, elle aime chacun de ses soldats, elle aime la famille royale, elle aime sa mère...Mais pas dans le sens dans lequel je l'attends. Elle prend tout sur elle, mais n'a personne sur qui se reposer... mais le pire, c'est qu'elle trouve cela normal.
Sa langue peut être très venimeuse lorsqu'il le faut. Une femme de sa carrure en a bien besoin, il faut s'avoir remettre les gens à leur place, se qu'elle fait à merveille.
Cependant, elle est aussi capable de beaucoup de douceur. Elle aime donner des leçons, n'ont pas pour se sentir au dessus de tout, mais pour justement, aider les autres à se relever, et à être plus grand, et pour cela, elle n'hésite pas à employer les grands moyens.
Persévérante, elle se donne à fond pour aller au bout de chacun de ses choix, et risquerait bien un jour d'y laisser sa peau, refusant de baisser les bras.


V. QUESTIONS HORS-JEU

Comment trouvez-vous le design ? : J'aime beaucoup ^o^

Comment avez-vous connu le forum ? : Grâce à Florent !


L'histoire arrive ^^
cependant s'il y a des choses pas bien, n'hésitez pas à me le dire tout de suite ^^

(cette histoire est une vraiment déception !
si jamais je suis accepté avec ça, je viendrais y apporter des modifications...)

IV. HISTOIRE(minimum 20 lignes)

Flavie naquit dans le beau château où sa mère vit encore à cette heure ci. Dejà tout bébé, on savait qu'elle saurait faire preuve ... d'originalité. Et cela fut confirmé dès qu'elle put vagabonder seule, s'aventurant toujours plus loin, sous le regard inquiet de sa mère. Flavie a passé sa jeune enfance fourré dans les jardins. Devant le château, il y avait la partit ennuyante du jardin : chaque haie était taillé avec soin, chaque allée devait être propre, il n'y avait pas un cailloux plus blanc que l'autre. Mais derrière le château, s'étendait la faune sauvage.. Enfin pour une petite fille. Les arbres avait pris le dessus et se dressait fièrement, tentant d'atteindre les hauteurs, avec Flavie. Elle aimait particulièrement grimper dans leurs branches, au grand désaroi de sa mère qui la voyait en cauchemard se casser la figure. Mais Flavie avait la technique. Même quand elle tombait, elle avait le reflexe de s'agriper à se qu'elle pouvait, et finissait souvent en cochond pendu sur une branche, toute érraflée, et la robe soulevée montrant ses jolies dessous. Cela avait le don de la faire partir en éclat de rire, mais c'était bien sa seule. Elle fut punit un nombre incalculable de fois par sa mère, qui n'arrivait pas à lui apprendre les bonnes manières. Pourtant, Flavie était quelqu'un de très intelligente, et savait se montrer polie, surtout lorsqu'elle y était contrainte et forcée. En présence d'inviter de marque, elle faisait la petite fille sage pendant aux moins les dix premières minutes. Mais avec d'autres invités, bien plus important, comme le fils de la soeur d'une amie de sa mère, elle reprenait ses airs de sauvageon. Le garçon en question s'appellait Tristan. Flavie ne voyait pas grand monde, et les pimbêches de voisines de l'interessait guère, heureusement que Tristant venait. C'était le seul garçon de son âge que pouvait voir la jeune mistinguette, et le seul qui relevait sans cesse tous ses défis. Ensemble, ils se cassèrent plus d'un os, mais le lien d'amitié qui était né entre eux, lui, ne cèda jamais. Même quand Favie lui grimper sur le dos en le cravachant comme un cheval sous les cris horripilés de sa mère. Même quand Tristan la poussa à l'eau alors qu'elle ne savait pas nager. D'ailleurs, après cet épiosode, elle pirt des cours de natation, ne tenant pas à mourir aussi bêtement.
Jugeant certainement qu'il était une mauvaise fréquentation, Mme Beauvais finit par lui interdire de le revoir. Cette nouvelle chamboula Flavie qui avait l'habitude de tout décider sans cesse. Mais cette fois ci, sa mère tint bon.

Sa mère l'enmenait assez souvent au château royale. Se que Flavie aimer le mieux la bas, c'était gambader partout, et tenter de surpendre les soldats. Ce qu'elle aimait le moins ; les jupes et autres froufrou qu'on était obligé de porter. Une fois, alors qu'elle avait tout juste 6 ans, sa mère la gronda plus que d'habitude avant d'entrer, ce jour était très important pour nous tous.

(c)présentation de Gabriel

Spoiler:

M. Beauvais n'était pas beaucoup présent. Flavie ne compris jamais trop son travail, mais elle sait qu'il portait toujours un sabre accroché à sa ceinture. Lorsqu'il était présent, il ne manquait jamais de faire découvrir à Flavie la beauté de cette arme, et lui appris quelque rudiment... Jusqu'à se qu'il se fassent tirer les oreilles par une certaine dame qui n'avait pas envi de voir sa fille devenir comme son père. Mais cela n'empêcha pas que lorsqu'elle eut atteint la dizaine, Flavie décida qu'il était tant qu'elle devienne le plus grand sabreur de l'humanité. Elle se précipita pour le dire à son cher père, mais celui ci était déjà parti pour une durée indeterminer. D'ailleurs, il n'est jamais revenu. Comme s'il avait sut le désir de sa fille, il avait laisser son sabre sur la grande table de bois. Par miracle, sa mère ne l'avait pas encore trouver, et Flavie se hâta d'aller la cacher.
C'est ainsi qu'elle eut sa première arme, et décida que pour être une grande sabreuse, il fallait prenre des cours. Même si cela déclancha un refus catégorique de la par de Mme Beauvais, Flavie trouva les arguments pour la faire céder, et eut son enseignement tant désiré, qui s'avera bien plus ardue que se qu'elle n'aurait jamais penser. D'abord, on ne lui apprenait pas à manier le sabre. Ensuite, elle n'était qu'avec des grands garçons. Et pour finir, on la traitait comme une gamine. Ce fut la première fois que Flavie eut la rage de vaincre. Elle n'était pas prete d'être intimidée, et redoubla d'effort pour être à la hauteur. Devellopant son endurance, on lui appris casiment tout sur l'art de la guerre. Dans un premier temps, à négocier. Ensuite, à savoir juger la puissance de l'ennemi, puis à faire des stratégie, et à intimider. Son intelligence fut mise à rude épreuve, mais cela pationnait Flavie. Puis, on lui appris à se servir de son corps, et d'armes. Parade, pistolet, bâton, art martial,... mais elle préférait de loin le sabre et l'épée, qu'elle maniait à la perfection, et ne tarda pas à se faire la réputation de la Dame tranchante, se qu'elle ne compris jamais bien mais qui faisait rire les hommes. Les années passèrent, et il ne se passa pas un jour où elle s'entraina. Se fut une période de repos pour sa mère, qui n'avait plus à la supporter au long de la journée.
Lorsqu'elle eut atteint sa seizième années, Flavie s'engagea dans l'armée. Elle avait toujours des cours pour avoir le niveau d'éducation correcte, se qui lui prenait tout son temps libre. Le reste du temps, elle était avec les soldats. Soldat, c'est se qu'elle était maintenant. On lui avait rit aux nez lorsqu'elle avait fournit ses voeux de servir son pays. Mais lorsqu'elle avait sortit son sabre, on la pris un peu plus au sérieux, même si peu d'entre eux crurent qu'elle tiendrait la ditance. Mais c'est se qu'elle fit. Et ceux qui n'y croyait toujours pas, elle els provoca en duel d'épée, qu'elle ne manqua pas de gagner. Ici, on ne lui faisait pas de cadeaux. Ni sa condition de bourgeois, ni sa condition de femme, ne lui apporta le moindre soutient. Elle connut des hauts et des bas, mais jamais elle décida de revenir en arrière dans sa petite vie facile de bourgeois. Elle préférait de loin le maniement de sa lame qu'elle perfectionnait au fils des ans.
Et de fils en aiguilles, elle grimpa dans les échellons de l'armée, en même temps que sa côte grimpait. Elle avait beaucoup de succes auprès des garçons, mais ne leur prétat guerre attention -ce qui lui vallut encore ce surnom de Dame tranchante -.
Elle quitta le château de sa mère pour un appartement en ville, plus près de la où l'armée s'entrainait, plus près du peuple. Là, elle fit la connaissance de casiment toute la ville, qui lui transmettait tous leurs encouragements, sachant qu'elle devait en voir de toutes les couleurs. Son instinct patriotique se dévellopa beaucoup à ce passage de sa vie, et elle compris se que voulait dire 'servir son pays'. Elle redoubla d'effort, et gagna peu à peu la confiance des autres, ainsi que le poste de commendant en chef, et par se biais la respect de beaucoups de gens, qui fut de loin son plus beau cadeaux.

Elle ne louppa aucune des naissances des jeunes princes, sous l'amusement du Roi et de sa Reine. A chaque fois, elle était parcourut de la même ferveur en voyant le bébé, bébé qu'elle protégerai de ses mains puisqu'elle faisait à présent partie de l'armée, et qu'elle n'en été pas peu fière. Et cela lui donnait une grande fièreté. Ren que pour les voir grandir, eux, ainsi que tous les autres enfants du peuple, elle donnerait n'importe quoi. Elle avait décidé d'être la grande soeur de tout le monde, celle qu'elle n'a pas put avoir elle même.
C'est d'ailleurs peut-être pour cela qu'elle fut choisit pour l'enseignement du combat aux princes. Pour une fois, Mme Beauvais fut tout à fait ravi et honoré cette nouvelle. Enfin sa fille se faisait remarquer dans le bon sens.
Flavie devint alors la maître d'arme des princes. Jamais elle n'eut autant de plasir que de se combattre avec eux. Enfin se battre, c'est beaucoup dire. Ils avaient développer entre eux une grande fraternité, et lorsque Flavie désarmé un des frères, les autres se jettaient sur elle, ne manquant pas de la faire tomber à la renverse. Cependant, à cause de leur différence d'âge et leur occupation princière, Mlle Beauvais, ne pouvant les prendre en même temps, donna beaucoup plus de cours particuliers. Lors de ses entrainement, Flavie semble oublier la hierachie. Elle n'hésite pas à railler ou à rire d'un prince, mais n'hésite pas non plus à l'encourager – ni à l'envoyer au sol -. ces élèves ont don inné, et c'est vrai plaisir.

Cependant, il arrive à Flavie de s'éclipser. Elle part quelques jours, voir quelques semaines on ne sait où, puis revient comme si de rien n'était. Lorsqu'elle eut ses 23 ans, elle disparut pendant un mois et est revenu avec son ruban bleu sur le visage, cachant son oeil gauche.